Pour utiliser TeP sur son ordinateur ou pour faire des scénari évolué, il suffit de copier le fichier TracenPoche.swf dans un répertoire quelconque créé auparavant puis d’y placer le fichier base.txt, tous les fichiers TeP (des fichiers texte décrivant chacun une configuration et une figure) et enfin le fichier base.tep. Ce dernier est un simple fichier texte listant tous les fichiers TeP du répertoire courant.

L’archive TracenPoche_htm.zip comprend :

Structure d’un fichier TeP

Un fichier TeP mon_fichier.txt est un fichier texte comprenant :

 le script et les commandes de la zone analyse

• @options ;
• @figure ;
• @analyse ;

 l’énoncé

• @enonce ;

 la configuration de TeP

• @config ;
  • Réglages des couleurs
  • Réglages des zones
  • Réglages des boutons
  • Réglages des commandes

Le tableau ci-dessous détaille la structure d’un fichier TeP :

 Ces champs sont optionnels.
Si le champ @config est absent par exemple, TracenPoche utilisera la configuration par défaut.
En fait le fichier texte peut même être vide. Dans ce cas, au chargement du fichier, on obtiendra une figure vide avec la configuration par défaut des boutons et des zones.

 Remarques sur @config ;
Dans les listes, on peut bien sûr ne mettre que quelques mots clés. Si on veut mettre tous les mots clés on peut aussi mettres tous (pour boutons) ou toutes (pour commandes) au lieu de la liste complète.

 Remarques sur @enonce ;
Pour que les accents soient conservés dans l’interface Tracenppche, il faut enregistrer le fichier texte au format UTF-8. Sous Windows XP par exemple, on peut le faire avec le bloc-notes : Fichier, Enregistrer sous..., choisir le Codage UTF-8 et non ANSI.

Exemple : Un fichier base.txt dont le contenu serait le suivant permet de lancer TeP avec l’interface telle que vous la voyez ci-dessous.

@options;

@figure;
A = point(-1,2.3);
P = point(0,4) {(-0.04,-1.37)};
B = point(2,2);
sAP =segment(A,P);
sPB =segment(P,B);
var disAP =AP;
p_disAP =milieu(A,P) {i};
t_disAP1 =texte(p_disAP,"$disAP$") {rouge,(-1,-1.02),dec1};
var disPB =PB;
p_disPB =milieu(P,B) {i};
t_disPB1 =texte(p_disPB,"$disPB$") {rouge,(0.67,-0.69),dec1};
var pas =0.04;
I =milieu(A,B) {i};
sAB =segment(A,B) {i};
perpIsAB =perpendiculaire(I,sAB) {i};
cerayP0.2 =cerclerayon(P,pas);
C2 =intersection(perpIsAB,cerayP0.2,1) {i};
C =intersection(perpIsAB,cerayP0.2,2) {rouge,trace,sansnom};
sCA =segment(C,A) {rouge,3};
sCB =segment(C,B) {rouge,3};

@analyse;

@enonce;

@config;
couleurfonddessin=0xbdd7cc;
couleurfondtexte=0xceddff;
couleurfondanalyse=0xceddff;
couleurfondenonce=0xceddff;
couleurtextinfo=0xffffff;
figure=0,0,696,480,ouvert;
script=1704,125,258,330,ouvert;
analyse=1704,463,258,149,ouvert;
enonce=1704,3,254,117,ouvert;
info=50,582,646,646;
listetransfos=invisible;
boutons=;

Un exemple de fonctionnement

Supposons que l’on dispose de trois fichiers : euler.txt, symetrie.txt, cosinus.txt et que nous voulions les charger.

On place ces trois fichiers dans le répertoire de TracenPoche.swf. Si nous lançons le swf, alors ces trois fichiers sont invisibles pour lui.
En effet, au lancement, TracenPoche.swf ouvre le fichier base.tep qui contient la liste des fichiers TeP devant être chargés au démarrage.
De cette façon, le répertoire peut contenir 30 fichiers TeP, mais c’est le fichier base.tep qui indique quels sont les fichiers du répertoire qui doivent être chargés.
Cette technique est utile si on utlise TeP en classe en prévoyant une liste d’activités, une sorte de scénario pré-établi. Il suffira simplement de modifier le fichier de index pour avoir les fichiers voulus au chargement.

Voici la structure de base.tep

script1 = euler.txt ;
script2 = symetrie.txt ;
script3 = cosinus.txt ;
nombre=3 ;

Au lancement de TracenPoche, celui-ci ouvre ce fichier, puis charge les trois fichiers textes figures.
Ces fichiers sont alors accessibles à l’aide du bouton "accéder aux scripts de la bibliothèque".